ARK NETWORK reference.ch · populus.ch    
 
  
Réseau Internationale pour l´Environnement 
 
 
Sections

Links

 Home  | Guestbook  | Photoalbum  | Contact

Déclaration du Réseau

Le 10 janvier 2011, les membres de l´Association Jeunes pour le Developpement Humain et la Protection de Environnement (AJDHPE) ont tenus une réunion à Brazzaville,pour mettre en place un réseaux sur les actions de la présevation, la conservation et de la protection de l´environnement par les ONGs, Ecoles, et les groupes des jeunes. 
 
Nous, membres de l´AJDHPE, réunis dans le cadre d’une concertation organisée par notre association,pour promovoir les activités des écoles, associations et partager les experieces dans le cadre environnement, afin dévaluer les progrès réalisés et faire des appels à une action immédiate au cours de la journée mondiale de l´´environnement.  
 
Nous exprimons notre sincère gratitude à l’AJDHPE pour avoir choisi de mettre l’accent au cours de ce premier mois d´année, le respect des engagements existants sur l’environnement. En dépit des progrès réalisés et de la volonté politique croissance pour résoudre la crises de l’environnementt, beaucoup reste à faire.  
De nombreux engagements ont été pris – maintenant il est temps de passer à l’action !  
 
En tant que membre de l´AJDHPE nous allons: 
 
1. Continuer de créer des opportunités pour l’engagement citoyen afin d’influencer les politiques, les pratiques et les programmes  
2. Continuer de rechercher l’innovation, et démontrer les meilleures pratiques, en partenariat avec les communautés, les gouvernements, les agences internationales et le secteur privé pour veiller à ce que toutes les cibles de environnement soient atteintes  
3. Faire le suivi de la mise en œuvre des programmes liés aux engagements et la réalisation des Objectifs du Millénaires sur le Développement (OMDs) sur l´environnement.  
4. Soutenir le Cadre d’Action Global, opportunité unique réunissant les acteurs du secteur ; en l’occurrence, les bailleurs de fonds, les gouvernements, les écoles,associations, ONGs et les communautés, dans le but de resoudre les crises liées à l’environnement.  
5. Continuer de plaider auprès des gouvernements et des bailleurs de fonds pour des actions extraordinaires visant à atteindre la cible des OMDs sur l´environnement. 
6. Continuer de mobiliser et de renforcer les capacités des communautés, afin que leurs droits à un environnement meilleur soient reconnus.  
 
En prenant la responsabilité pour ce qui précède, nous reconnaissons aussi l’importance de notre partenariat avec les bailleurs de fonds et les gouvernements, pour la réalisation d’une croissance substantielle, équitable et durable de l’accès aux services environnementaux et à un climat stable et propre, et d’assurer une gestion intégrée et durable des ressources naturelles dans le monde – notre ressource partagée. Aussi avons-nous identifié les actions urgentes suivantes à entreprendre par les gouvernements et les bailleurs de fonds.  
 
Financement des organisations de l´environnement 
 
Plusieurs déclarations ont engagés les leaders du monde à augmenter le financement dans le secteur de l´environnement pour lutter contre la dégradation de la terre, le changement climatique et la pollution de l´air. Toutefois, peu d’efforts ont été fournis jusqu’ici, dans le sens du respect de ces engagements aux niveaux nationaux et il existe une grande disparité dans le financement des organisations,associations, les écoles et les groupes d´actions des jeunes à caractaire écologique de grande envergure. 
 
Nous appelons les gouvernements et les bailleurs de fonds à: 
 
1. Respecter les engagements pris, relatifs au financement des organisations,associations et les grou. 
2. Mettre l’accent sur le financement des activités environnementales, où il existe un grand besoin, pour la réalisation des OMDs 
3. Fournir des ressources humaines, financières, techniques et systémiques appropriées et renforcer les capacités pour la réalisation des engagements existants.  
4. Créer et soutenir de manière appropriée des mécanismes visant à éliminer la corruption, tels que des chartes sur la préservation, la conservation et la protection de l´environnement, pour la responsabilité financière et la transparence, afin de mettre un terme à la corruption rampante qui gangrère le secteur de l’environnement.  
 
Réduire la fracture de l’environnement 
 
La Déclaration et le Plan d’Action ´Stockholm du 5 au 16 juin 1972,accordent la priorité à l’environnement en tant qu’élément central dans l’atteinte des cibles des OMDs. Cependant, il existe un immense fossé dans l’accès à l’environnement un bon environnement. Le couvert forestier naturel continue à diminuer dans tous les pays. Chaque année, c'est un total de 5,8 millions d'hectares qui sont ainsi perdus, entre 1990 et 1995, soit une réduction totale de 3 �urant la période. Cela constitue une menace majeure contre la diversité biologique dans son ensemble, l’Afrique au dessus du Sahara n’atteindra pas les Objectifs du Millénaire pour le Développement. L’accès à un environnement propre et sein faisant défaut dans les zones rurales et dans les zones de résidence pauvre en milieux urbains. Les gouvernements locaux n’ont pas entièrement la capacité de focaliser leurs ressources pour la réduction de cette fracture.  
 
Nous appelons les bailleurs de fonds à: 
 
1. Accroître la priorité politique de l’environnement et veiller à ce que cette priorité se reflète dans l’allocation des ressources et une mise en œuvre effective des mécanismes visant à réaliser les OMDs 
2. Développer des approches fructueuses, promouvoir et mettre en œuvre des actions visant à un bon environnement.  
3. Faires recours et s’ouvrir aux approches qui placent au centre de leurs démarches les populations et leurs droits.  
4. Créer et renforcer les mécanismes d’évaluation annuelle au niveau national afin de faire le suivi des progrès réalisés dans la perspective de l’atteinte de la cible des OMDs sur l’environnement. 
5. Fixer un agenda africain solide pour la Réunion de Haut Niveau du Cadre d’Action Globale sur l’environnement . 
 
Changement climatique et adaptations 
 
La conséquence du changement climatique sur l’Afrique n’a pas encore été entièrement maîtrisée et résolue. Les communautés frappées par le changement climatique n’ont pas bénéficié du renforcement de leurs capacités, ni d’un soutien financier ou technique pour les préparer à l’adaptation. Bien plus, l’on ne reconnaît pas assez que l’impact du changement climatique est en grande partie vécu à travers le cycle de dégradation de laterre et la pollution de l´air. Il existe aussi un déséquilibre important entre le financement pour la réduction et l’adaptation au changement climatique.  
 
Nous appelons les gouvernements et bailleurs de fonds à: 
 
1. Développer en partenariat avec les parties prenantes affectées, un climat de résistance en investissant dans les infrastructures capables de mitiger les inondations, les sècheresses et autres menaces.  
2. Augmenter au delà des engagements d’aide en cours, le financement pour l’adaptation.  
3. S’assurer que l’adaptation n’est pas un secteur à part, mais qu’elle s’intègre dans le plan national et international de l´environnment. 
4. S’assurer que les intérêts de tous les continents, y compris le financement complet pour les mesures d’adaptation comprenant l’environnment, aussi bien que la réduction significative des émissions par les pays développés, représentés internationalement à COP15 et au delà.  
 
Nous demerons pour engagé des actions dans le monde entier en vue d´avoir un environnement meilleur. Merci.  
 

(c) International Network Coordinator of Environmental Ections (INCEA) - Made with the help of Populus.org.
Last modified on 19.01.2011
- Already 2027 visits on this website!